La capacité portante de l’ensemble résulte à la fois de la résistance à la traction du prélinteau, de la résistance à la compression et au cisaillement de la maçonnerie qui le surmonte (blocs béton), mais aussi de la résistance au cisaillement du joint entre le béton du prélinteau et le mortier de pose de la maçonnerie.
Il est donc indispensable d’éviter toute souillure qui entrainerait une moindre adhérence du mortier sur le prélinteau. Notons également l’obligation d’avoir des joints verticaux bien fermés, ceci de manière à ce que la zone de compression joue parfaitement son rôle.
Au cas où la fermeture des joints verticaux ne peut être garantie, les charges utiles admissibles à considérer devront être diminuées d’un tas de blocs (de cette manière, pour 3 tas de blocs sans joints verticaux, nous considérerons les valeurs de 2 tas de blocs).